Dans le cadre de leur procédure, les demandeurs d’asile ou les migrants sont amenés à formuler le récit de souffrances intimes devant des intervenants multiples. La souffrance psychique, l’expression de traumatismes, les enjeux des procédures ou la présence d’un interprète sont autant d’éléments parfois difficiles à gérer pour la personne accompagnée, comme pour le professionnel.
Identifier les effets du traumatisme qui peuvent altérer, rendre difficile ou empêcher la narration, créer les conditions favorables à l’émergence d’une parole singulière tout en accueillant ces récits de souffrance interroge la posture du professionnel.
• La souffrance psychique, un faisceau de causalités
• Le traumatisme et effet sur les processus de remémoration et de verbalisation
• Dire l'indicible
• L'espace de l'entretien pour favoriser la parole
• Le positionnement dans la relation d’entretien pour soutenir la parole, adapter sa posture et se protéger de la souffrance
2 jours en présentiel
Toute personne accompagnant un public exilé
Aucun
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