En 2018, près de la moitié des éloignements ont eu lieu dans le cadre d'un retour volontaire. Plusieurs dispositifs se développent pour favoriser ce type de démarche, moins coûteuse pour l'Etat qu'un retour forcé et généralement plus respectueuse des droits des personnes. Dans le même temps cependant, les orientations politiques en matière d'éloignement visent plutôt à renforcer les mesures coercitives.